Vous voulez écrire la biographie d’un ancêtre ayant participé à la Grande Guerre de 14-18 ?
Quelles sont les sources disponibles pour retracer le parcours d’un poilu et en savoir plus sur ce qu’il a vécu ?
Quels sont les précautions à prendre, les écueils à éviter ?
Vous voulez écrire une partie de votre histoire familiale, de votre autobiographie… ou tout autre texte d’ailleurs.
Mais au moment de vous y mettre, votre cerveau se grippe, vos doigts flageolent : vous vivez la fameuse angoisse de la page blanche.
Nous avons vu les causes possibles de ce syndrome, et le premier moyen de le surmonter : éclaircir vos idées et faire le point sur ce que vous voulez dire.
Hélas, cela ne suffit pas toujours. Je vous avais promis des astuces pour remédier au blocage persistant, les voici
N.B. : certaines astuces m’ont été données par des abonnés à mon compte Twitter : Hervé, Gloria, Jean-Michel, Alain ou encore Benoît. Merci à eux !
J’avais lu ça dans un sondage : un quart des Français – et la moitié des 65 ans et plus – aimeraient écrire une biographie ou une autobiographie.
Pourtant, la plupart en restent au stade du projet. La peur de la page blanche aurait-elle encore frappé ?
Nous avons tous connu cette situation. On s’installe pour écrire, on choisit son plus beau stylo ou le meilleur titre pour son fichier Word, et puis… on sèche.
Les idées s’embrouillent, le cerveau est pris de vertige, on ne sait plus rien. On est pa-ra-ly-sé.